poemes

GWADA

Meme si je n’y suis pas né
Et y ai vécu trop peu de temps
C’est l’endroit dont j’ai rêvé
Pour faire ma vie étant enfant

Mais, ironie du sort, c’est la que je l’ai perdu, percuté par une auto
Le rêve et l’envie me l’ont rendu, bien que j’y aie perdu des morceaux

Mon cœur ne l’a jamais quitté
Et je sais que j’y retournerai
Oh ma mère comme tu as pleuré
Mais sache que, la-bas, mon cœur est en paix

Ses odeurs, ses couleurs, sa douceur
Font battre mon cœur
Ses paysages, sa faune, sa flore
Sont, chaque jour, d’un égal émerveillement
Tous ces bonheurs m’attendent,
Je ne puis rester plus longtemps

M’arracher à l’amour des miens ?
Mais ne veulent-ils pas ma joie ?
Vous serez toujours en mon sein,
Je m’en retourne à GWADA

A MA MUSE

Tel une fleur des champs,
Elle ondule sous le vent.

Par sa douceur, sa chaleur, elle est soleil.
Comme celui-ci, elle m’a ébloui.

Que donnerais-je pour la sentir et bien plus pour la toucher,
Mais surtout sans la meurtrir, je ne peux que l’aimer.

Comment l’accueillir dans mes bras.
Qu’elle y rêve de bonheur.
Lui montrer qu’elle n’y aurait pas froid.
Qu’elle ne doit avoir peur.

Je ne sais ce qu’elle veut, je la connais trop peu.
Elle est dans mon esprit, c’est là qu’elle vit.
Je lui dédie ce poème, espérant qu’elle vienne